Dernières actualités avec #Richard Sédillot


Le HuffPost France
19 hours ago
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Serge Atlaoui, ex-condamné à mort en Indonésie et détenu en France, va sortir de prison
JUSTICE - Sa détention dure depuis 2005. Le tribunal d'application des peines de Melun (Seine-et-Marne) a autorisé ce mardi 15 juillet la libération conditionnelle de Serge Atlaoui, ex-condamné à mort en Indonésie pour trafic de drogue, transféré et incarcéré en février en France, a appris l'AFP auprès de son avocat et du parquet de Meaux. « Ça a été un très long combat, il était hors de question que je baisse les bras à quelque moment que ce soit. C'est pour moi un très grand moment aujourd'hui et cela va l'être pour lui dès qu'il va sortir », a déclaré à l'AFP son avocat historique Richard Sédillot. Condamné en Indonésie pour narcotrafic, Serge Atlaoui est actuellement incarcéré dans la prison de Meaux-Chauconin en Seine-et-Marne. « Le tribunal a considéré qu'il n'y avait pas de risque de réitération », a dit Me Richard Sédillot. De son côté, le procureur de Meaux, Jean-Baptiste Bladier, a confirmé à l'AFP que Serge Atlaoui « bénéficie, à compter de ce jour, d'une libération conditionnelle ». Serge Atlaoui s'est toujours défendu d'être un trafiquant de drogue Artisan-soudeur originaire de Metz, Serge Atlaoui, 61 ans aujourd'hui, a été arrêté en 2005 dans une usine près de Jakarta où des dizaines de kilos de drogue avaient été découverts et les autorités l'avaient accusé d'être un « chimiste ». Le Français s'est toujours défendu d'être un trafiquant de drogue, affirmant qu'il n'avait fait qu'installer des machines industrielles dans ce qu'il croyait être une usine d'acrylique. Initialement condamné à la prison à vie, il avait vu la Cour suprême indonésienne alourdir la sentence et le condamner à la peine capitale en appel en 2007. Il devait être exécuté aux côtés de huit condamnés en 2015, mais avait obtenu un sursis après une pression diplomatique intense de la part des autorités françaises. À la suite d'un accord diplomatique, il a finalement été transféré en France en février, où la justice a commué sa peine en 30 ans de réclusion.


Le Figaro
20 hours ago
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La justice française autorise la libération conditionnelle de Serge Atlaoui
La justice française a autorisé mardi 15 juillet la libération conditionnelle de Serge Atlaoui, ex-condamné à mort en Indonésie pour trafic de drogue. Le tribunal d'application des peines de Melun (Seine-et-Marne) a autorisé, mardi 15 juillet, la libération conditionnelle de Serge Atlaoui, ex-condamné à mort en Indonésie pour trafic de drogue, transféré et incarcéré en février en France, a appris l'AFP auprès de son avocat et du parquet de Meaux. «Ça a été un très long combat, il était hors de question que je baisse les bras à quelque moment que ce soit. C'est pour moi un très grand moment aujourd'hui et cela va l'être pour lui dès qu'il va sortir», a déclaré à l'AFP son avocat historique Richard Sédillot. Condamné en Indonésie pour narcotrafic, Serge Atlaoui est détenu depuis 2005. Publicité Plus d'informations à venir...


Le Parisien
20 hours ago
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La justice française autorise la libération conditionnelle de Serge Atlaoui, ancien condamné à mort en Indonésie
Il avait été transféré et incarcéré en France en février dernier. Le tribunal d'application des peines de Melun (Seine-et-Marne) a autorisé ce mardi 15 juillet la libération conditionnelle de Serge Atlaoui, ex-condamné à mort en Indonésie pour trafic de drogue, a appris l'AFP auprès de son avocat et du parquet de Meaux. « Ça a été un très long combat, il était hors de question que je baisse les bras à quelque moment que ce soit. C'est pour moi un très grand moment aujourd'hui et cela va l'être pour lui dès qu'il va sortir », a déclaré à l'AFP son avocat historique Richard Sédillot. Condamné en Indonésie pour narcotrafic, Serge Atlaoui est détenu depuis 2005. Cette année-là, l'artisan soudeur avait été arrêté dans une usine où des dizaines de kilos de drogue avaient été découverts et les autorités l'avaient accusé d'être un « chimiste ». Venu de Metz, ce père de quatre enfants, s'est toujours défendu d'être un trafiquant de drogue, affirmant qu'il n'avait fait qu'installer des machines industrielles dans ce qu'il croyait être une usine d'acrylique. >> Plus d'informations à venir.